Dix courts métrages en une soirée et malheureusement pour le public encore une fois sous la pluie. Parmi les dix se cache mon film préféré de tout le fetival, Success. Comme le festival s’achève ce soir et qu’en mauvais élève, je n’ai pas pu tenir le rythme de tous les jours, je me contenterai de vous parler succinctement des films sans rentrer dans les détails vu que vous ne pourrez plus les voir dans le cadre du festival à partir de demain…
Comme je disais précédemment, Success de Diederik Ebbinge est mon gros coup de cur du festival! C’est l’histoire d’un employé ayant une présentation dans la journée. Ce dernier se fait acclamer et décide de fêter ça en allant dans un fast food. Ce court allemand est hilarant! De tout le festival, je n’ai jamais autant ri. Je me suis même mis à applaudir la présentation en plein milieu du court métrage. Regardez-le absolument si vous en avez l’occasion, fous rires garantis!
Ten : Thirtyone est un exemple de la vie d’une famille américaine moyenne. Problèmes familiaux, d’alcool, d’argent… J’ai retrouvé exactement la même ambiance que dans la formidable série Friday Night Lights et ça c’est fort de la part de Lec Gorn! L’actrice principale qui joue Tommy et l’actrice qui joue la grand-mère sont excellentes. La réalisation qui saute de scène en scène donne une dynamique et une impression d’un film plus long et plus fourni qu’il ne l’est réellement.
Welgunzer est une histoire assez dingue. Le personnage principal veut voyager dans le futur pour se donner la mort. Seulement son futur et le futur de son futur ne va pas le laisser faire. Alors, comprendra qui voudra! En tout cas, moi je suis totalement rentré dans le délire. Dans la confusion de tous les Donald, on ne sait même plus si on veut le laisser tuer sa femme, se tuer ou retourner dans le futur, ou le passé, ou bien était-ce le présent?