Jeudi 12, 2ème partie:
L’histoire: Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l’émission Qui veut gagner des millions ? Il n’est plus qu’à une question de la victoire lorsque la police l’arrête sur un soupçon de tricherie.
Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d’où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu’il a perdue. Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d’une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante.
Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d’où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu’il a perdue. Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d’une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante.
Après le somptueux Sunshine, Danny Boyle nous offre avec Slumdog Millionaire une incroyable histoire. Car c’est bien cela la force du film, son histoire. Un orphelin parti de rien que la vie n’a pas gâté mais qui grâce à toutes ses aventures devient millionnaire. La réalisation de Danny Boyle est impeccable, ce dernier réussitavec une telle facilité à nous captiver qu’on oublierai presque c’est uniquement dû à son talent. Quant à la musique, elle est surprenante et entraînante. Très bonne bande originale qui nous fait voyager dans cette Inde àla fois moderne et farouche. Slumdog Millionaire est avant tout une superbe réalisation!
En prime, les jeunes acteurs qui jouent les personnages de 7 ans sont extraordinaires! Engagés directement sur place, ils ajoutent une authenticité indiscutable au film. Quant à Dev Patel, on aurait pu espérer un peu plus d’une tête d’affiche. On a du mal à cerner le personnage: un moment il fait des blagues, un moment il est transit amoureux, un moment il semble niais, un moment il est semble "overly confident", c’est assez confus au final. La raison elle-même est assez indistincte, est-ce l’écriture du personnage ou bien le jeu de Dev Patel? Par contre, on ne peut rester insensible à la beauté de Freida Pinto et aux scènes où les deux personnages ne font que se croiser sans jamais se retrouver complètement. Mais finalement, les personnages plus jeunes sont beaucoup plus convaincants.